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Lors de nos absences, nos habitats risquent beaucoup d’être occupé par des squatteurs. Squatter, c’est le fait d’occuper un lieu après être entré par effraction ou par tromperie, sans l’autorisation du propriétaire. Avec les nouvelles lois qui protègent également les squatteurs il convient de savoir dès le départ comment se protéger du squat.
Bien verrouiller les accès de votre habitat
C’est une solution qui parait évidente, mais qui se voit beaucoup négligé. Il est primordial de tout fermer une fois que vous vous absentez de chez vous. Veillez au bon fonctionnement des verrous que vous utilisez. Il existe des verrous anti-intrusions et des portes blindées dont l’installation protège sacrément contre le crochetage ou le forçage.
On a tendance quand on sort (surtout quand on habite à plusieurs) à déposer les clés à un coin en extérieur de la maison. Ce n’est vraiment pas une bonne idée. Multipliez les clés autant que vous êtes dans l’habitat et gardez-les sur vous.
Installer un système d’alarme et de télésurveillance
C’est une solution encore plus efficace. Le bruit des systèmes d’alarme peut faire fuir les squatteurs lors d’une tentative d’intrusion dans votre habitat. En plus les systèmes d’alarmes sont connectés à un centre de télésurveillance maintenu par des équipes. En cas de squat ou de tentative de squat, vous serez très tôt averti. Les télé-surveilleurs pourront immédiatement faire intervenir les forces de l’ordre et vous aurez, en plus, de quoi prouver que le squatteur est entré chez vous par effraction. Si vous souhaitez vous-même avoir l’œil sur votre domicile où que vous soyez, il est possible de faire disposer le système d’une caméra connecté.
Et si les squatteurs occupaient déjà vos logements ?
Dans le cas où les squatteurs occupent déjà vos logements vous ne pouvez que faire recourt à la justice. Vous devez porter plainte (au commissariat ou à la gendarmerie) pour violation de domicile. Avoir une preuve que le logement est votre domicile à travers les factures, une attestation ou tout autre document. Enfin faire constater à l’aide d’un officier de police judiciaire qu’un squatteur occupe votre habitat.